1 City 2 Faces est un projet basé sur les villes et l’architecture. Il se concentre sur les villes ayant de fortes disparités sociales et économiques. Le projet est basé sur 6 villes connues pour leur grand contraste urbain où l’on passe des quartiers chics aux bidonvilles : Rio de Janeiro, Caracas, Buenos Aires, Mexico, Mumbai et São Paulo.
Le principe d’accordéon créeant une anamorphose permet de faire apparaître les deux visages des villes. Selon l’orientation de l’accordéon on observe la partie riche de la ville ou la partie pauvre. Ces photos sont accompagnées d’informations courtes provenant de divers articles, mettant en avant les aspects positifs et négatifs des villes. Ces informations sont mises en pages de la même façon que les images, selon l’orientation on lit les données positives ou négatives. Les 6 accordéons sont contenus dans une boite. Celle-ci a été réfléchit dans la continuité des accordéons. En effet, elle met également en avant les deux visages des villes. Le couvercle est fait d’un papier noir mat sur lequel est imprimé en noir un dessin vectoriel et froid de buildings. La partie inférieure de la boite est faite d’un simple papier machine sur lequel est dessiné au crayon à papier un bidonville, représentatif ici de la ville pauvre. La manipulation didactique de l’objet permet de faire rendre compte des inégalités présentes au sein d’une même ville.
Le principe d’accordéon créeant une anamorphose permet de faire apparaître les deux visages des villes. Selon l’orientation de l’accordéon on observe la partie riche de la ville ou la partie pauvre. Ces photos sont accompagnées d’informations courtes provenant de divers articles, mettant en avant les aspects positifs et négatifs des villes. Ces informations sont mises en pages de la même façon que les images, selon l’orientation on lit les données positives ou négatives. Les 6 accordéons sont contenus dans une boite. Celle-ci a été réfléchit dans la continuité des accordéons. En effet, elle met également en avant les deux visages des villes. Le couvercle est fait d’un papier noir mat sur lequel est imprimé en noir un dessin vectoriel et froid de buildings. La partie inférieure de la boite est faite d’un simple papier machine sur lequel est dessiné au crayon à papier un bidonville, représentatif ici de la ville pauvre. La manipulation didactique de l’objet permet de faire rendre compte des inégalités présentes au sein d’une même ville.
/2018